Pour préparer la présentation orale du projet sur « le mur », explorez les liens ci-après pour retrouver des documents étudiés en classe et en découvrir de nouveaux pour approfondir vos connaissances.
Diaporama d’après l’ouvrage « Des murs et des Hommes » d’Alexandra Novosseloff et Frank Neisse (éditions la Documentation Française) ;
Vidéo sur l’East Side Gallery de Berlin ;
L’East Side Gallery (…) est le plus grand segment de mur conservé. Long de 1300 mètres et classé monument historique en 1992, c’est également devenu la plus grande galerie en plein air au monde. Avant 1989, le mur était de couleur blanche et grise, une barrière empêchait de l’approcher ou de le toucher. L’intégralité du fleuve, qui faisait office de « no man’s land », faisait partie de Berlin-Est et était arpenté par les patrouilleurs des gardes-frontières. De nombreux berlinois périrent noyés en tentant de passer à l’ouest.
Après la chute du mur, 118 artistes originaires de 21 pays commencèrent à peindre une gigantesque fresque sur la face est du mur, intouchée du temps de l’Allemagne divisée. Certaines de ces œuvres sont depuis devenues des icônes, tel le baiser échangé entre Leonid Brejnev et le dirigeant de la RDA Erich Honecker et la série de « dialogues » du français Thierry Noir. Mais en vingt ans, la pollution, les graffitis et l’usure du temps avaient failli détruire à jamais ces peintures, qui ont pris depuis une valeur patrimoniale considérable. C’est pourquoi la ville de Berlin a pris l’initiative de convier, durant l’été 2009, quarante artistes de l’époque, venus du monde entier, qui ont été invités cet été à reproduire trait pour trait leur œuvre telle qu’ils l’avaient crée il y a vingt ans. Le message de cette œuvre d’art urbain est celui de l’euphorie qui régna au lendemain de la chute du mur.
Shepard Fairey, « street artiste »
et concepteur de l’affiche « HOPE » durant la campagne présidentielle de B. Obama ;
le « M.U.R. », association crée en mars 2003 à Paris pour promouvoir l’art urbain ;
définition du Street Art sur Wikipédia ;
Festival Artaq à Angers ;
le concept d’art collaboratif de Gregos (collaboration avec un lycée pour le projet "Mon visage sur les lurs de Paris) ;
L’artiste d’origine portugaise Alexandre FARTO, sculpte les façades des bâtiments pour faire apparaître des visages (extrait vidéo) (l’introduction est un peu longue mais patientez jusqu’à 0:50 sec...) ;
pour revoir le travail de l’artiste JR : Facetoface
et son actualité « Womens are heros » sortie au cinéma le 12 janvier 2011 (extraits) ;
le site officiel de BANKSY et un autre ici, bien documenté pour découvrir la démarche de cet artiste anglais ;
Keith HARING : ( extrait vidéo Musée d’Art Contemporain de Lyon, 2008)
Keith Haring débute des études de graphisme publicitaire à Pittsburgh puis il s’installe à New York où il devient l’élève de Joseph Kossuth et de Sonnier à l’Ecole des arts visuels. Son passe-temps favori : descendre dans le métro de New York pour y dessiner sur les murs, ce qui lui vaut des arrestations à répétition par la police. Il finit par exposer ensuite dans plusieurs galeries new-yorkaises, notamment chez Leo Castelli qui gère ses premiers pas dans l’arène artistique. Il part également peindre sur le mur de Berlin et réalise des fresques dans des hôpitaux aux Etats-Unis ainsi qu’en Europe où l’on peut admirer la fresque de l’hôpital Necker à Paris. Pas d’oeuvres préparatoires, l’artiste dessine à même le motif au gré de son inspiration, créant des sortes d’idoles et des dieux à forte connotation sexuelle et métaphorique. A partir de 1984, il développe une symbolique colorée, liée au monde des médias. De nombreux thèmes lui tiennent à coeur tels la guerre ou la drogue, notamment dans le quartier de Harlem où ses fresques dénoncent clairement les préjugés raciaux et sexuels. En 1987, il apprend qu’il est atteint du sida et décide de recueillir des fonds pour la lutte contre cette maladie. Dans l’histoire de l’art, Haring représente un peintre éclairé, témoin de la société moderne dont les oeuvres s’arrachent à prix d’or. Son style, les ’happening’ et symboles reconnaissables ont fait la célébrité de cet artiste original et engagé, enfant du pop art.
Jean Michel BASQUIAT et le concept de « Bad Painting » : biographie et « 2 oeuvres à la loupe » sur le site de Télérama ;
la photographe française Sophie Ristelhueber :
Sophie Ristelhueber (née en 1949) vit à Paris, où, avant de se consacrer à la photographie, elle a fait des études littéraires et a travaillé dans la presse et l’édition.-Depuis plus de vingt ans, elle poursuit une réflexion sur le territoire et son histoire, au travers d’une approche singulière des ruines et des traces laissées par l’homme dans des lieux dévastés par la guerre. Loin du photoreportage classique, elle s’attache à la mise à nu des faits et à l’empreinte de l’histoire, dans les corps et dans les paysages, en rendant visibles plaies et cicatrices, véritables mémoires des traumatismes.
et enfin, pour les courageux parvenus à la fin de cet article, une petite récompense : le travail de BLU.
Par un travail minutieux de photographie, il donne vie à ses graffitis grâce à la technique d’animation image par image.
En savoir plus sur cet artiste italien.
Sur plusieurs de ces sites de nombreux liens permettent à ceux qui veulent approfondir davantage de se « promener » pour découvrir d’autres articles ou d’autres extraits vidéo...
N’hésitez pas à faire part dans votre exposé de votre avis sur des démarches d’artistes qui vous ont marqué ou de montrer de quelle manière elles ont influencé votre travail pratique.
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Dernière mise à jour : jeudi 17 octobre 2019